Frédéric Stévenin

en 2 mots

 

C’est tout récemment, à 41 ans, que Fred a intégré le staff de l’E.S. Cernex, en tant qu’entraîneur des Débutants, cela grâce à Edgar et Valentin, ses 2 fils. Et sur sa lancée, il a repris le chemin de l’entraînement avec les Vétérans! Cet ingénieur en informatique a en outre une petite Agathe avec Maryline, sa compagne. Cet hiver, il a passé avec succès le diplôme d’initiateur 1.

 

As-tu d’autres activités que le foot ? DVD/TV, billard, modélisme, m’occuper de mes enfants.

Un rêve ? Voir mes enfants grandir.

Un luxe ? Vivre sans peur du lendemain.

Ce qui te fait peur ? La maladie (de mes proches).

Ce qui te fait rire ? Voir mes enfants rire!

Ta plus grande réussite ? Nos 3 enfants.

Une chose que tu sais bien faire ? Me plaindre.

Un film culte ? «Blade Runner».

Un plat ? Le tartare, sans discussion!

Si tu devais changer quelque chose en toi ? Demandez à ma femme!

Une qualité personnelle ? Mon engagement: ce que je fais, je le fais à fond.

Un défaut ? Ma femme me dit que je suis soupe au lait.

Une ligne de conduite ? Ne rien lâcher, aller au bout de ses convictions : pas de regrets.

Ce qui t’énerve ? Ceux qui crient ou critiquent au bord d’un terrain de foot.

Ton idéal féminin ? Ma belle-maman (son esprit), mais ne le lui dites pas!

Tes héros ? Christophe Colomb ; Neil Armstrong ; un Américain de juin 44.

Tes anti-héros… ? Un Américain de 2008.

Un événement marquant ? Les Twin Towers : la mort en direct.

Un plaisir de la vie ? Lire le Dauphiné (les pages sports). C’est même un rituel.

Le bonheur parfait ? Difficile à dire dans cette société de plus en plus rude. Je dirais : voir grandir ses enfants, bien s’occuper de sa femme et faire un métier intéressant.

Qu’est-ce qui t’a amené au foot ? Enfant, j’ai essayé différents sports : rugby, handball, ping-pong, hockey… Vers 10 ans, je suis tombé dans la marmite du foot. J’en suis sorti à 34 ans, et mes enfants m’y replongent, à 40 ans, c’est la vie!

Ton premier souvenir de foot ? Mon 1er match à Meythet en Minimes. J’étais arrière-gauche, tout petit par rapport aux autres… On en a pris 7, mais je me suis rattrapé plus tard!

Ton meilleur souvenir de foot ? Quand j’étais à Annecy-le-Vieux, un match amical contre l’équipe pro d’Auxerre de 1991. J’étais attaquant, et je me suis retrouvé entre un certain W. Prunier et A. Roche… On en a pris 7… (décidément, ce chiffre 7…)

Qu’est-ce qui t’a amené à Cernex ? Une Mottue.

Quel est, selon toi, l’atout majeur de Cernex ? Un encadrement de qualité, et un environnement de travail intéressant.

Un message pour les débutants ? Profitez du moment.

Et l’avenir ? Nos enfants!

 

(I.D.)

 
       
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Chardons Infos N° 62 printemps 2008

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