06.10.06 Un chat noir rôde-t-il autour du stade des Chardons ?!!!

La saison n'est commencée que depuis un mois et déjà une multitude de blessés garnissent l'infirmerie du Club. Pire, même dans l'entourage de l'Etoile Sportive, la malchance ne semble épargner personne.

Tout d'abord, c'est notre ami Pascal PHILIPPE qui a été victime d'un très grave accident de la circulation, dans le sud de l'Espagne. Souffrant de nombreuses fractures et d'un traumastisme cranien, Pascal, bien entourée par Claude, Josette et Didier, et toute sa famille. se remet lentement de ce choc terrible; viendra ensuite l'heure des opérations pour réduire les fractures.

Au chapitre des joueurs, aux 2 blessés de longue date de la saison dernière, Cédric GOYET et Jean-François FRAISSE (genou), s'est venu s'ajouter ……16 nouveaux noms.

Aussi, Romain BLANCK, Gilles CHAFFARD, Eric LACHAVANNE, Rodolphe BEDONI et Johan VIGNE souffrent d'un genou, Frédéric DE CHARBONNEAU, Julien HERZIG de la cuisse, Romain GILBERT des côtes, Henri JACQUET, Loïc MAILLET et Mickael SALLAZ de la cheville, Alexandre PERILLAT des adducteurs, Mickael DEPREZ et Nicolas PONTONNIER du dos, David CUSIN du bassin, et Aurélien BRAND……de l'appendicite !

On le voit donc, une belle brochette de joueurs qui manquent beaucoup à leurs entraîneurs respectifs !

Cerise sur la gateau, ou plutôt noyau, Laurence CUSIN, en vacances en Grèce, n'a pas été béni par les  pourtant, nombreux dieux locaux, en se fracturant le poignet sur les marches de l'hôtel !

En voyant tous ces blessés, notre ami, Maurice THOMASSON, fournisseur officiel du beau temps pour les manifestations du club …et donc son protecteur, commencerait, paraît-il, à trembler pour sa place ! Il est vrai que, déjà, son travail n'avait été que partiellement effectué le samedi 16 septembre, puisque, si le beau temps fut bien présent, jusqu'à 18h00 pour la journée des Poussins, dans la soirée, le concours de pétanque fut plus qu'arrosé !

Décidément, si Momo, à l'image de l'Équipe 1, commence à manquer de réussite, ou va-t-on ? 

                                                                          Il faut se reprendre, Momo, et ne plus dire "Allo Maman bobo"