Le vendredi 26 juillet 2002 restera un jour
sans précédent pour les communes
de Copponex et Marlioz

En effet, lors de la 18ème étape du Tour de France, l’impressionnante caravane publicitaire et les quelques 150 coureurs partis de Cluses traversèrent, sous un soleil radieux, ces deux localités pour rejoindre Bourg-en-Bresse.

Les Associations de Copponex, aidées de la Mairie, se sont unies pour organiser la fête avec buvette et casse-croûte pour les spectateurs.

La décoration du village et du parcours a été particulièrement soignée : arrangements floraux, expositions de vieux vélos, inscriptions géantes dans une prairie et les 53 silhouettes de coureurs évoquant les vainqueurs du Tour de France depuis sa création.

Les coureurs devaient ensuite affronter la Côte de Marlioz (4ème catégorie) où de nombreux spectateurs s’étaient placés pour encourager leurs favoris.

Le Comité des Loisirs de Marlioz a profité de l’évènement pour décorer la place de la mairie avec un message de bienvenue, un «cycliste» en plein effort peint par un artiste du village, et une chaîne de vélos -monumentale - imaginée et réalisée par La Jane (Jean Bouchet) et Eric (S.E. Levage).

La buvette, le stand de frites et grillades ont été envahis par la foule en liesse.

Le passage de la course a duré quelques minutes,la fête a duré jusqu’au soir... !

(N.M.)

‘’Dès le début du match, les deux équipes pratiquent un bon football et le jeu est équilibré. Mais juste avant la pause, St-Genis ouvre la marque, en conclusion d’une belle action collective. Luc, qui se trouve au stade des chardons, nous apprend que nous menons 4-0 à la mi-temps.

Je lui demande de dire aux joueurs que le score est ici toujours nul et vierge, pour préserver intacte la motivation de tous. En seconde période, les visiteurs aggravent le score (et notre cas) à la 55'. Mais quelques minutes plus tard, nous retrouvons le sourire, lorsque Bons réduit le score.

Hélas, à vingt minutes de la fin, l’équipe de l’Ain reprend le large et mène alors 3-1. On s’achemine vers un succès tranquille de St-Genis, lorsqu’à sept minutes du terme de la partie, suite à une interception d’un attaquant Bonsois, suivie d’un centre, l’entraîneur-joueur local crucifie le gardien et ramène le score à 3-2.

Dès lors, Bons passe la vitesse supérieure, et l’incroyable survient à la 88', sous la forme d’un pénalty en faveur des Chablaisiens sanctionnant une main dans la surface!

Un coup de pied de réparation qui sera tiré dans la confusion, puisque sur la touche, certains dirigeants du club local, qui gardent rancune à Cernex du match de la saison précédente, demandent carrément au tireur de rater volontairement la cible!!!
Le joueur s’élance et trompe un gardien statique, sans doute perturbé par cette situation inhabituelle. Bons égalise sous les sifflets de ses supporters!

Damien DEROBERT
vient de La MANDALLAZ
Attaquant

Jérome CUSIN
vient de
US SAINT-JULIEN
Défenseur

Michel ABENA vient du Tonnerre Yaoundé
Attaquant

Eddy MAUCLER vient de CHILLY
Attaquant

Kéto a 22 ans, il est technicien en mécanique.

 
L’E.S.Cernex se félicite de le compter parmi les rangs de l’équipe fanion depuis plusieurs années, généralement au poste de milieu ou de défenseur.

Et Kéto semble lui-même se féliciter de cette association, puisqu’il a accepté depuis 3 ans de prendre en main une équipe de foot à 7, cette année celle des Benjamins B.

 
Qu’est-ce qui t’a fait choisir le foot ? A l’école, tout jeune, je jouais avec toute une bande de copains. Un jour, on a décidé de s’inscrire dans un club, tous ensemble, juste pour voir comment ça se passait. Plus tard, j’ai rejoint Cernex, parce que c’était là que se trouvaient tous mes amis, et on formait une bonne équipe.

Une qualité personnelle ? Sincère et persévérant.

 
Un défaut ? Susceptible. Je sais aussi que l’on peut me trouver froid, de prime abord.

 
Ce que tu ne comprends pas ? Les violeurs.. Que l’on puisse violer quelqu’un.

 
Ton rêve ? Vivre quelques temps à l’étranger. Je crois que je pourrais, sur un coup de tête, partir avec Eloïse, pour le réaliser, par exemple au Canada.

 
Ce qui te touche ? Les déséquilibres entre les sociétés. Ce qu’on voit à la TV de misère et de famine, alors que nous, on se plaint pour de menus détails.

 
Un souvenir heureux ? Lors de la première montée, le match contre Divonne. Pas seulement comme joueur. L’enthousiasme unissait tout le club, c’était magique! Et puis, plus personnellement, le but que j’ai marqué le jour de mes 20 ans à Alby, depuis le milieu de terrain, direct dans la lucarne!

 
Un événement marquant ? Deux! La Coupe du monde 98, et l’euphorie générale qu’elle avait générée pendant plusieurs mois. Et bien sûr, le 11 Septembre, pas seulement pour les États-unis, mais pour ce que cela représentait de violence et de terreur.

 
Ta devise ? On n’a qu’une seule vie, alors il faut en profiter!

 
Un luxe ? Faire ce qu’on veut quand on veut.

Ton engagement dans le foot à 7 ? Au départ, ça m’intéressait, mais jamais je n’aurais pris les devants si Séba ne m’avait proposé de passer mes diplômes! C’est très prenant, surtout quand on est aussi joueur. Mais c’est passionnant de suivre les progrès des enfants au fil du temps. Au départ, ils sont limités techniquement, et n’ont aucune notion de jeu collectif. On commence par travailler les bases, les placements, la technique individuelle, puis en benjamin on peut déjà aborder la tactique. En fin d’année, on peut voir les débuts d’un jeu collectif, c’est assez gratifiant de se dire qu’on n’a pas fait que de la garderie! Pour eux, c’est une chance, cette année, d’avoir un encadrement jeune, principalement parce que leurs moniteurs sont également joueurs. Ils viennent nous voir jouer le dimanche, ils voient qu’on est dans le bain, ils nous prennent comme modèle...

Ton point de vue de joueur ? Nous avons connu 2 montées en 3 ans. Avec Hervé, nous avons beaucoup progressé, tant collectivement qu’individuellement. C’est un meneur d’hommes, il connaît son domaine et sait nous motiver pour obtenir des résultats.

 
Les atouts de Cernex ? La convivialité, une équipe dirigeante au top et un cadre superbe.
L’avenir ? Sur un plan personnel, je prendrai les choses comme elles viendront. De toute façon je ne suis déjà pas à plaindre, et je n’ai pas d’ambitions démesurées : fonder une famille, vivre tranquillement...

Sur le plan sportif, je compte évidemment sur le maintien de l’équipe fanion. Le niveau que nous avons atteint demande un autre style de jeu, il n’y a plus de temps morts. Je pense que nous en sommes capables, mais chaque match est à prendre. Néanmoins, nous pouvons compter sur de nouvelles recrues, dont des jeunes prometteurs, qui viennent renforcer toutes les équipes seniors.

(ID)

Ma famille
Cantona
L’Olympique Lyonnais
la raclette, et les spécialités
savoyardes
le vert
mes amis
la franchise
Renaud, Dolly, Mano Negra,
et les Enfoirés
les films comiques, les BD
MA COPINE
le ski, le tennis
La Lozère

Effenberg
les abus de pouvoir
le rap (en tout cas la musique)
les films d’horreur
les abats
la malhonnêteté
le PSG
Patricia Kaas
les reptiles
Le Pen

Après Bormes-les-Mimosas l’an passé, le club avait cette année jeté son dévolu sur la province du Languedoc-Roussillon, Frontignan plus précisément. Grâce à Claude, un match amical avait pu être organisé contre la réserve locale qui évolue en promotion d’honneur régional, en lever de rideau de la CFA 2.

Après un voyage de sept heures, et une nuit bien courte pour certains, les Blancs se sont présentés sur la belle pelouse de Frontignan, encouragés bruyamment par le reste de la troupe...

Pourtant, après 25 minutes de jeu, les locaux, très incisifs, avaient à quatre reprises trouvé le chemin de nos buts! Force était de constater que, paradoxalement, si les femmes avaient (bien) dégusté du Frontignan, c’étaient leurs maris et copains qui trinquaient!

La seconde période sera... d’un tout autre tonneau, puisque enfin libérés, les Blancs vont refaire presque entièrement leur retard, déchaînant les vivas d’une chorale «chauffée» par un Fonfon des grands jours.

Cette rencontre aura démontré qu’à ce niveau, chaque erreur se paie comptant, et que, comme dans la fable de La Fontaine, «rien ne sert de courir, il faut partir à point». Ce match a vu le retour éminemment sympathique, sur le banc de touche, de Lili, qui va apporter cette saison son flair et toute son expérience du coaching auprès d’Hervé.

Ce week-end détente a remporté un franc succès auprès des participants, tout en permettant de resserrer les liens dans le groupe avant d’aborder la saison nouvelle. Seul petit bémol: le temps capricieux, qui n’a pas permis de profiter des joies de la mer.
(S.C.)

Dans le milieu du foot pro, bien rares sont ceux qui n’ont pas entendu parler de «Zato». Ce natif d’Alès, voisin de feu Jean Sadoul, occupe tout son temps à sillonner les routes en auto-stop, dans le but d’assister à des matchs de foot. Un passionné, quoi!

Cela fait trente-six saisons qu’il parcourt la France et même le Monde pour l’amour du ballon rond (il a assisté à six Coupes du Monde).

Lorsque nous l’avons rencontré en Août dernier, son «compteur» affichait:
11897 matchs vus et 5 976 000 kilomètres parcourus!!!

Passée l’ivresse des chiffres, on se demande de quelle manière notre homme, sans fortune personnelle, arrive à réaliser cela dans la pratique.

Son allié le plus précieux est son carnet d’adresses qui s’est enrichi au cours de toutes ces années, et dans lequel les anonymes côtoient les plus grandes stars.

Deux points communs les réunissent toutefois, le football ... et la possibilité d’aider «Zato»!

Ensuite, sa solide complicité avec les routiers, sa grande faculté d’adaptation et une mémoire quasi infaillible, qui fait de lui une véritable bible vivante du foot, sont autant d’atouts qui devraient lui permettre de battre le record de 7 millions de kilomètres en auto-stop (détenu par un Américain) et surtout d’assister encore à de très, très nombreux matchs de football.
 

A cette occasion, le 4 Août dernier, le club avait programmé les premières rencontres le dimanche matin afin d’organiser un match de gala en fin d’après-midi. Cet anniversaire a été dignement célébré à travers de très belles rencontres toute la journée, avec en point d’orgue la confrontation entre le club phare des deux Savoie, Gaillard, et la sélection de l’UNFP, représentée par René Charrier.
Le nombreux public a pu ainsi voir évoluer sur la pelouse des Chardons des joueurs aussi prestigieux que Pouget, Boutal ou encore Diabaté.
Après la rencontre, les spectateurs ont retrouvé les «pros» à la buvette et ont pu engager la discussion à bâtons rompus avec nos hôtes, qui ont apprécié cette ambiance champêtre. Retour sportif sur une journée réussie.

Voilà un match de gala qui n’a pas usurpé son appellation, grâce aux deux équipes qui ont fait le spectacle et offert 8 buts aux nombreux spectateurs présents. La sélection de l’UNFP avait fière allure, se présentant avec toutes ses vedettes, sous la houlette de l’entraîneur Arnaud Dos Santos

accompagné de René Charrier venu en personne représenter le syndicat des joueurs professionnels.
En face, les frontaliers tenaient à bien faire pour honorer leur brillante accession en CFA.

Le plein succès de cette manifestation récompense tous les bénévoles de leurs efforts et Claude (Philippe) a pu souffler les dix bougies de «son» tournoi dans l’allégresse.

Enfin, un grand MERCI à tous les annonceurs qui nous ont soutenus lors de cette journée, et particulièrement à Patrick Bouvier de TRANSFRET, et à l’entreprise de travaux publics NAVET, très impliqués dans l’organisation du match de gala.

(GC)

Un imposant baby-foot a fait son apparition au foyer. Les entraîneurs l’utilisant assez peu pour la mise en place tactique, il sert davantage aux joueurs après les entraînements. Une excellente idée, initiée par la dynamique équipe de l’Amicale.

Les gardiens de but sont gâtés cette saison. Ils sont encadrés par deux spécialistes du poste, lors d’exercices spécifiques. Pascal Rousseau est aidé dans sa tâche par José Herrero, qui signe ainsi son sympathique retour au club.

Ce ne sont pas les occupations qui manquent dans notre association, et toutes les bonnes volontés sont fort appréciées. Dans ce registre, l’investissement des plus jeunes est des plus méritoires. Ils sont nombreux, par exemple, à s’occuper de leurs cadets du foot à 7. Nico Dérobert lui, suit une autre ligne directrice au club, celle de la traçeuse ! ...

Bravo à tous.La saison aura été courte pour Fabien Bonhomme. Le mois de Septembre n’était pas terminé que déjà il raccrochait les crampons! Ses études l’appellent outre-Atlantique, où il va passer neuf mois au Canada. Pour garder la forme, Fati, un conseil: cours après les caribous!
 
Lors du Tournoi des As, une tombola a été organisée. Les deux jambons ont été gagnés par Aude Cusin et Jean-François Maillet.

Je me souviens, dans ma prime enfance (ce devait être en pupilles), nous avions pour maillots des sous-pulls verts à col roulé achetés à Carrefour. C’était avant que nous ayons un professionnel en matériel sportif sous la main... C’était l’époque où l’on se contentait de se laver les mollets au robinet dans le fossé après le match...

Dans la famille, mes frères et moi, nous avons tous, à un moment ou à un autre, joué au foot. Mon père était président du club. Il passait ses samedis et dimanches au foot, et nous aussi, bien souvent. A l’époque, il n’y avait pas de rendez-vous au stade !

On descendait avec lui, en voiture, et pour les matches, on ramassait tout le monde en passant.

Une fois, en allant jouer à l’extérieur, en minimes, nous nous étions faits arrêter à la douane du Châble...

Il faut dire que nous étions 8 ou 10 enfants dans la voiture de mon père ! Heureusement, nous étions tombés sur un certain douanier, féru de foot, qui après nous avoir taquinés un moment, nous a finalement laissés aller jouer...Je me souviens encore d’un match à Saint-Blaise que j’avais plus ou moins parasité de la touche en sifflant intempestivement avec mon sifflet personnel, à l’abri dans la 2CV d’Yves Cusin.

Il me revient aussi un match à Thônes, en juniors. La moitié de l’équipe était allée au bal à Thônes la veille... et avait directement rejoint le stade le lendemain matin, sans rentrer se coucher...

Mon meilleur souvenir sportif reste une saison en II avec Robert Pillard comme coach. Il nous connaissait bien, savait gérer l’équipe et tirer le meilleur de ses joueurs. Nous étions très soudés. Avec lui, j’ai vraiment eu l’impression de progresser.

Un joueur qui m’a marqué ? Laurent Delieutraz. Il m’a écrasé le gros orteil lors d’un entraînement, et j’en garde un ongle difforme...
(I.D.)

Marco Siffredi, le fameux snowboarder de Chamonix, a tragiquement disparu dans l’Everest le 8 septembre dernier.
Nous l’avions rencontré le 1er août 2001, lorsqu’il avait gentiment accepté de venir faire le tirage au sort du 9ème Tournoi des As sur l’antenne de «8 Mont-Blanc». Claude Philippe, ami de la famille, l’avait convaincu de passer à l’écran, pour la plus grande joie des journalistes de la chaîne de proximité, trop heureux de recevoir une sommité de la glisse.

Pas réellement motivé par le football, même s’il avouait à l’antenne avoir «comme tout le monde tapé dans la coye», Marco était venu par sympathie pour permettre de donner un coup de projecteur sur la manifestation organisée par le club.

A seulement vingt-trois ans, Marco Siffredi était un spécialiste du snowboard en pente raide et avait été le premier à réussir, en mai 2001, la descente intégrale du versant tibétain de l’Everest (8848m), ce qui représente deux heures vingt de glisse!

Cette année, il devait tenter un autre couloir, plus difficile encore. Sa trace a disparu à 8500 m.

Il nous laissera l’image d’un garçon simple et attachant, épris de montagne et de glisse, qui aura vécu sa passion intensément.

Aujourd’hui, nous avons une pensée pour ses proches, et comme eux nous sommes fiers d’avoir pu côtoyer Marco, aussi brièvement que ce fût. (GC)

Patrick Bouvier, qui réside à «un dégagement en touche» du terrain de Copponex, est un habitué du Stade des Chardons. En outre, il est un des partenaires très appréciés du club via la boîte de transport qu’il dirige, «Transfret».

Le détour de France : capot jaune

Le passage de la grande boucle, cet été, dans nos villages, a certes marqué les esprits, mais également le capot de la voiture d’un des co-présidents (celui de Charly, pour ne pas le nommer).
C’est Eddy Merkx qui en a été la victime. Ce 26 juillet, son vélo s’est retrouvé sur le capot de l’automobile du co-président en question.
Rassurez-vous, le vélo et l’Eddy n’étaient que les figurines installées sur la commune de Copponex pour l’événement ; toutefois, l’attirance du chauffeur pour la couleur du maillot nantais avait bien jauni le capot de son auto ce jour-là.

Attention les vélos !

Contrôle plus que surprise :

Notre ami Nicolas D. des Petits-Bois, après un match fêté comme il se doit, suivi d’une virée nocturne, s’est sagement fait reconduire à la maison par ses co-équipiers, au petit matin.

Soucieux d’avertir ses parents de sa rentrée tardive,notre compère ne fut pas un peu étonné de se retrouver confronté à une maman «gendarme» qui l’a soumis à un alcootest .

Le manuel d’utilisation s’étant avéré trop compliqué, Nicolas a fait appel, quant au résultat obtenu, et s’en est allé coucher «vert» de rage.

Un contrôle qui pourrait faire école ? !

Depuis de très nombreuses années, le club a la chance, mais aussi le mérite (car il faut accueillir et former ! ), de posséder des équipes dynamiques et performantes de

Foot à 7 & Débutants

(enfants de 6 à 11 ans), encadrées par de jeunes éducateurs très motivés et soucieux de faire progresser les enfants.
Les résultats d’ensemble sont excellents, l’ambiance est aussi très conviviale, les parents suivant régulièrement les matches de leurs enfants.
A raison de 2 fois par semaines (1 entraînement + 1 match) les petits se retrouvent donc tous autour du même objet tant convoité :
LE BALLON !

Debout:

Jeremy PHILIPPE
Lucas ADT
Lucas JACQUEMOUD

Assis:

Alexandre CARRIEU
Jérémie GIRAUD
Loîc DELAMAISON

Debout: Benjamin PHILIPPE - Guillaume KIENTZ - Anthony FUCHS Nathan DEFFAYET - Anthony TISSOT

Assis: Maël RICHER - François LORAY - Minh COLE
Roméo CARSANA - Eliott BUFFARD

 
Après plusieurs années de pratique, ils graviront progressivement les marches pouvant les mener jusque dans les équipes séniors, comme... tous leurs éducateurs !!!!!

(SC)

Jean-Yves Chabrier a 42 ans. Il s’investit dans le club depuis 2 ans, en tant que membre du comité, joueur, en Foot Loisirs, mais surtout au poste de coach de l’équipe III.

Ta plus grande réussite ? Mes deux filles.
Ta devise ? Profiter de l’instant.
Un loisir ? La pêche.
Un plat ? Le couscous.
Ton rêve ? La paix universelle.
Ton joueur préféré ? Platini.
Un chanteur ? Pagny. Gainsbourg.
Un souvenir heureux ? Mon mariage.
Fromage ou dessert ? Fromage.
Ton idéal féminin ? Isabelle Adjani.
Une qualité personnelle ? La modestie !
Un défaut ? Rancunier.
Ce qui te fait rire ? L’humour anglais.
Ce qui te fait enrager ? La connerie.
Chaud ou froid ? Chaud. Le soleil.
Ton club préféré ? L’E.S. Cernex. Et à un autre niveau, Saint-Etienne.
Pourquoi avoir choisi Cernex ? Pour Maurice!
Un plaisir de la vie ? Se lever le matin.
Une couleur ? Vert.
Un luxe ? Un avion privé.
Un pays ? L’australie.
Un événement marquant ? Le 11 Septembre.
Que t’apporte le foot ? De bons moments. Du plaisir.
L’atout majeur de Cernex ? C’est un club familial et convivial.
Un commentaire sur la III ? C’est une équipe qui a bon esprit, qui joue pour jouer et pour progresser. Maurice, surtout, fait des efforts méritoires pour s’améliorer...

(ID)