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Edito
Nous aimons dans
ces pages nous appesantir sur les petits événements qui
rythment la vie de notre club, et en font tout le charme.
Pour cette édition, nous avons choisi un moment crucial de
cette vie collective : la fameuse troisième mi-temps, qui
permet bien souvent aux joueurs les moins éclatants sur le
terrain de faire valoir d'autres qualités, tout aussi
importantes pour l'ambiance du groupe. Comprise avant tout
comme un moment propice à la convivialité, cette mi-temps-là
ne se termine pas au coup de sifflet, mais à l'abandon des
adversaires, au terme parfois de valeureux et interminables
échanges. Elle défie intempéries et nuit noire! Le contexte
se prêtait ainsi à rendre hommage à ceux sans qui une bonne
bouffe ne serait pas ce qu'elle est : nos deux
super-cuisiniers, Michel et Didier.
Plus tristement,
dans cette édition, nous dirons aussi avec vous au revoir à
Jean, que comme nous, vous connaissez tous, et qui a
partagé, voire orchestré, pas mal de nos troisièmes
mi-temps.
(I.D.) |
Souffler (dans le ballon) n'est pas jouer !
La 3ème
mi-temps n'a jamais aussi bien porté son nom que lorsqu'elle
débute… sur le terrain!
Cela est arrivé au club, lors des dernières accessions, et
ceux qui ont eu la chance d'être présents en conservent de
sacrés souvenirs. |
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Mais
généralement, les festivités débutent plus tard et peuvent
prendre la forme de Maurice poussant la chansonnette,
d'Edgar jouant un air de trompette ou encore de quelqu'un
d'autre un peu "pompette". Il serait hypocrite de ne pas se
demander de quel degré d'alcool dépend la grande
convivialité de ces bons moments. Eluder serait plus commode
que d'élucider… |
Mais
les conséquences peuvent être trop fâcheuses et afin que
personne ne détecte, dans le thème évoqué, un début de
commencement de complaisance en faveur de l'enivrement, nous
rappelons ces quelques infos (très) utiles : |
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- Un demi
de bière = un verre de vin = un whisky = 0,2 g/l
- Chaque verre de plus fait monter le taux de 0,2g/l à 0,25
g/l
- Un sujet en bonne santé élimine 0,1 à 0,15 g/l par heure
- Le risque d'accident mortel est multiplié par 2 à 0,5 g/l
par 10 à 0,8 g/l
par 35 à 1,2g/l |
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- L'alcool
restreint le champ visuel, augmente la sensibilité à
l'éblouissement,
diminue les réflexes et altère l'appréciation des distances
et des largeurs.
Pourtant,
les clubs sportifs n'ont pas vocation à s'affilier à la
croix bleue et le meilleur moyen de limiter les risques de
dérapage reste "le conducteur désigné", qui fait le choix de
rester sobre, pour pouvoir ramener ses potes. Une sorte de
défenseur qui "couvre le hors-jeu", mais à qui on dirait,
pour une fois, "bien joué" ! |
Portrait - Didier Renaud |
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Didier
a 44 ans. Il habite à Malbuisson. Divorcé, père de 3 enfants
: Bastien, Jonathan et Morgane, il est salaisonnier, et
cuisinier de métier. Voilà pour l'état civil. Au club, il
forme avec Michel Faivre le duo gagnant de toutes nos
manifestations, puisque tous deux s'occupent de nous
régaler. Au club depuis une vingtaine d'années, père de
joueur et ancien joueur lui-même, Didier est en outre
dirigeant de l’équipe 15 ans… Et apparemment, il dit qu'il
lui reste du temps pour voir ses copains en-dehors du foot !
Une
journée qui commence bien, c'est ? Un copieux petit
déjeuner.
As-tu d'autres activités que le foot ? L'été : bronzage,
pétanque et apéro au bord du lac.
Quels autres sports t'intéressent ? Je suis le tournoi des 6
Nations, le basket… |
Ce qui te
fait rire ? Franck Dubosc, l'humour noir. Et aussi : quand
Fanfan nous compare aux 2 petits vieux du Muppet's Show,
Michel et moi.
Ce qui te fait enrager ? Tous ceux qui passent devant chez
moi à toute allure.
Vous vous entendez bien entre cuistots! Oui, ça se passe
bien. On nous appelle parfois "le binôme".
Une qualité personnelle ? La franchise.
Un défaut ? Je ne suis pas toujours à l'heure...
Un souvenir heureux ? La naissance de mes enfants.
Un pêché mignon ? Les desserts, sous toutes leurs formes.
Un rêve ? Avoir une maison à moi.
Ce qui te fait peur ? Je trouve que je vieillis trop vite.
Un événement marquant ? J'ai perdu 3 de mes amis à
3 âges différents de la vie, de maladie ou d'accident : l'un
à 12 ans, un autre à 24 ans et le troisième à 38 ans. Ces 3
deuils m'ont beaucoup marqué.
Une chose que tu sais bien faire ? Ranger.
Un luxe ? Prendre le temps de ne rien faire.
Un plaisir de la vie ? Se retrouver entre amis autour d'une
bonne table.
Ce qui t'émeut ? Quand j'essaie de faire plaisir à quelqu'un
ou de l'aider, et que je réussis.
Est-il important pour toi que tes enfants jouent au foot ?
En fait, j'aurais bien vu mon aîné jouer au foot, mais pas
du tout le cadet. Au final, je me suis bien trompé :
Jonathan aime le foot et se débrouille plutôt bien, tandis
que Bastien et Morgane pratiquent des sports complètement
différents. Mais s'ils s'éclatent ainsi, ça me va!
L'important, c'est qu'ils aient une activité.
Qu'est-ce
qui t'a amené à Cernex ? Je travaillais à Annemasse, comme
cuisinier, et j'ai rencontré Claude (Philippe) dans le cadre
de mon travail. C'est lui qui m'a invité à venir voir Cernex.
Je me souviens qu'il y avait un gymkhana en-dessous de chez
Maurice cette année-là. Je suis venu, j'y ai rencontré des
gens qui m'ont plu, je suis resté pour l'ambiance.
Quel est selon toi l'atout majeur de l'E.S. Cernex ?
Indéniablement, l'équipe dirigeante : les 2 Présidents et
tous les bénévoles qui se donnent pour le Club. Les jeunes
ou leurs parents ne se rendent pas toujours bien compte du
travail que cela représente. On prend la responsabilité des
enfants, ce n'est pas rien. Et eux, ils savent qu'ils
peuvent nous les confier en toute quiétude, ce n'est pas
évident partout! Pour ma part, savoir qu'il y a toute une
équipe qui se dévoue, ça joue beaucoup : quand des gens
comme ceux-là viennent me demander de mettre la main à la
pâte, je n'imagine même pas de refuser! J'aime bien aussi le
message que Louis (Vigne) a réussi à transmettre aux
enfants, au niveau du foot. Il les motive, sait leur donner
sa passion. C'est un excellent éducateur, doublé d'un mordu
de foot.
Qu'est-ce que le foot t'apporte ? De bons moments. J'aime
bien venir faire un tour aussi le vendredi soir, quand les
seniors s'entraînent… et puis leur faire à manger de temps
en temps, je crois que ça leur plaît bien aussi!
Quelles obligations cela représente-t-il pour toi ? Ce sont
surtout des responsabilités par rapport aux enfants qui me
sont confiés. Cela implique aussi de les encadrer hors du
terrain: leur apprendre le respect d'autrui, à se tenir
correctement. Pour ce qui est de la commission des fêtes,
tout se passe bien entre nous. Ca roule!
Quelle est ta vision de l'avenir ? Pour le Club : si la
première continue de monter, tant mieux. Pour moi : Si ça
continue comme maintenant, ça ira bien!
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Moravcik
Saint-Etienne
La tête de veau
La franchise
Le vert
Mylène Farmer
Balavoine
Jean Reno
Miou-Miou
Les bergers allemands
Manger, faire à manger
Jouer à la pétanque
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Les gens qui râlent pour
un oui ou un non
L'OM
Le gratin de courge
Le baseball
Les serpents
Leonardo di Caprio
Star Academy
Le jaune
(juste pour contester Séba)
(I.D.) |
Le
Tour du centenaire
Copponex
récompensé... |
Pendant
deux années consécutives, en 2002 et 2003, le Tour de France
traverse le village de Copponex... à la grande satisfaction
de tout le monde.
Le Maire et son conseil municipal inscrivent la commune au
concours des "Villages décorés sur la route du Tour",
organisé par DOUBLET et ANTARGAZ. Deux années de suite,
toutes les Associations locales se mobilisent pour préparer
l’évènement afin d’attirer l’attention du jury présidé par
Bernard Hinault.
Le 12 juillet 2003, où toutes les télévisions du monde
retransmettent en intégralité les images de cette étape
Lyon-Morzine, Copponex se fait remarquer par la qualité et
la beauté des décorations dans un cadre exceptionnel.
En automne, on apprend que Copponex est sur le podium, à la
3éme place. Les autorités locales sont donc conviées à la
remise officielle des prix à Paris.
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Le Maire
de Copponex,
Jean-Luc Thomasson, accompagné de Laurence Chabrier et
Claude Germain
aux côtés de Bernard Hinault.
Le Maire a
reçu des mains de Bernard Hinault
le 3ème prix du concours, un chèque de 8000 euros.
Bravo à tous ceux qui ont contribué à cette réussite.
(N.M.) |
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Mon cher Jean, il
y a 31 ans, ta famille s’installe à Andilly. Tu prends au Club ta
première licence, tout comme ton frère et ton papa qui s’engage en
tant qu’éducateur.
Ton amour du football et ton caractère de gagnant, ajoutés à ton
application, font de toi un joueur de qualité au sein de l’équipe.
Caractère très affirmé, tu aimes la perfection et le beau jeu. Tu
acquières rapidement une maturité sur le terrain et il n’y a rien
d’étonnant à ce qu’à 17 ans, tu sois le premier du groupe a être
appelé en équipe fanion.
Malheureusement, un grave accident coupe ton élan!
Plus tard, éloigné partiellement des terrains, tu t’engages dans la
vie du Club, qui fut pour toi une seconde famille. Jeannot, tu es
toujours là pour donner le coup de main, te rendre utile (entretien,
peinture, manifestations). Tu prends de l’assurance, et n’écoutant
que ton dévouement, tu assumes, seul, durant plusieurs années, la
responsabilité de la buvette, avec beaucoup d’assiduité, d’ordre et
de rigueur. |
Au sein du Club, ton caractère,
toujours aussi affirmé et volontaire, laisse pourtant beaucoup de
place à la convivialité. C’est certain, tu aimais la compagnie, et
au sein du groupe, tes traits d’esprit, ton humour, ton air
malicieux, tes petites colères, ton espièglerie, tes farces,
toujours ponctués d’un rire spontané et explosif, étaient très
appréciés.
Oui Jeannot, tu nous quittes, mais nous garderons de toi le souvenir
d’un sociétaire fidèle, recherchant toujours le contact et l’amitié.Tu
nous as aimés, et nous t’aimerons toujours!
Tu laisses au Club un grand vide, mais tu laisses un vide encore
plus grand dans ta famille, une déchirure qui ne se referme jamais.
A ta maman, à ton papa, à ton frère et Patricia, à tes neveux, Elisa
et Thomas, à ta nombreuse famille, l’Etoile Sportive de Cernex
assure son soutien dans cette terrible épreuve, qui leur demande, et
leur demandera beaucoup de courage.
Marie-Jeanne, Henri : Philippe m’a demandé d’évoquer la grande
amitié qui liait Jean et Laurent, nos deux fils. Leur amitié nous a
amenés, dans le passé, à partager quelques sorties en montagne.
Aujourd’hui, nous subissons le même drame et je veux terminer sur
une note d’espoir, persuadé que les deux grands amis d’hier se sont
déjà retrouvés!
(Claude PHILIPPE) |
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Au printemps
2000, nous avions eu cette entrevue avec Jeannot.
Petit retour sur celui qui a passé 29 saisons au Club.
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Jeannot... en 2 mots |
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Un
loisir ? Le ski.
Ta qualité ? La franchise.
Ton défaut ? L’impulsivité.
La buvette ? Un plaisir, ma façon de participer au Club.
Quelle est la tâche la plus fastidieuse à ce poste ? Nettoyer avant
de partir.
Et la plus agréable ? Servir.
Combien de "permanences" en moyenne par semaine ? 2.
Ta couleur préférée ? Bleu.
Le mot que tu préfères ? Dormir.
Un mot que tu détestes ? Travailler.
La première qualité d’un bon joueur ? L’esprit d’équipe.
Ton joueur préféré ? Pelé.
Ton grand plaisir dans la vie ? Un bon dîner entre amis.
Ton actrice préférée ? Farrah Fawcett.
Ton chanteur préféré ? Renaud.
Ton rêve ? Etre financièrement libre.
Qu’est-ce qui te plaît dans le foot ? L’esprit d’équipe. On forme un
tout (quand on y arrive).
L’atout majeur du Club ? Il regroupe les talents de plein de gens
différents. |
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Je m’souviens : Jean-Luc Thomasson |
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"Gaspi" est un sociétaire type,
"estampillé" Etoile Sportive de par sa fidélité et son engagement au
Club, malgré ses nombreuses occupations. Pourtant, Jean-Luc n'a pas
débuté le foot à Cernex, mais à Taninges, où il a habité quelques
temps. De retour à Copponex, il est "enrôlé" par Léon Déprez (qui
faisait déjà la chasse au Gaspi!) en compagnie de Christian Sallaz
et de Serge Olivier.
27 ans après, il a toujours sa licence à l'ESC… et des souvenirs en
pagaille.
Il a joué son premier match à Echenevex,
dans l'Ain, où il aimait se déplacer en moto, avec "Briquet". Jean
Bouchet avait également un deux roues, et les retours n'étaient pas
souvent directs. |
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D'autres fois, "La
Jane" prenait la 4L du travail, et "Gaspi" se rappelle avoir été
obligé de prendre le volant de la fourgonnette pour rentrer de
Genève, quelques temps avant de passer le permis! Les soirées chez
Dusonchet et la préparation du gymkhana avec "Jojo" et "Papin" sont
autant de bons moments.
Tout comme ce
voyage à Champmillon, en Charente, dans le cadre d'un jumelage avec
Cernex. Pour la sortie des vétérans, "Gaspi" avait même organisé à
Nîmes, un match contre les cheminots… et contre le mistral! Afin de
mieux préparer le séjour, il avait poussé le souci du détail jusqu'à
partir en éclaireur, auparavant, avec "Ninoche"! |
Côté terrain, quelques faits marquants
ressortent. Un regret pour débuter: ce match des interpoules au
Fayet, avec "Gus" comme coach, où l'un de nos défenseurs avait
commis une négligence coupable, entraînant un but adverse. Rageant
pour le rageur "Gaspi"! Un ancien arbitre bénévole du club peut en
témoigner, lui qui, parti à Lanfonnet avec notre homme, s'était vu
refuser l'accès de la voiture au retour, pour avoir sifflé un
pénalty contre Jean-Luc, suite à une faute commise à 35 mètres de
nos cages!
C'est à peu près à cette distance qu'une frappe terrible a permis à
"Gaspi" de marquer un joli but contre Péron, sur une passe de
Maurice ("Eh oui, Maurice faisait des passes, à l'époque!")
Enfin, ce joueur de tempérament n'a été expulsé qu'une fois, pour un
banal accrochage avec Max de Valleiry. Les deux joueurs avaient filé
directement à la buvette. "Gaspi" s'en souvient très bien, c'était
le jour de ses 20 ans!
(GC) |
Je
m’souviens : Thierry Giraud |
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"Titi" est
actuellement l'exemplaire et sympathique capitaine de l'équipe
II.
Il s'occupe également des "15 ans", en tant qu'adjoint de
"Lili".
Nous lui avons demandé de remonter le temps pour évoquer ses
souvenirs de foot… et des 3ème mi-temps qui vont avec!
Originaire de Montluçon, dans l'Allier, Thierry Giraud est
arrivé en Haute-Savoie pour l'école et est resté pour le
travail. Viry a été son premier club dans le département,
pendant deux saisons, avant qu'il ne suive son fidèle copain
Jean-Marie (Bellossat) à Boëge, club dont un des principaux
avantages réside dans sa proximité géographique avec le " Petit
Savoyard "! (Pratique lorsque "Titi" veut jouer au "gros
minet"!) |
De la Vallée verte, il se souvient
d'une bonne équipe de copains, et de fameuses 3èmes mi-temps
chez "la Patou", au siège du Club. Il se rappelle surtout d'un
tournoi à La Roche avec Jean-Marie, où ils n'avaient vu que du
bleu, après une nuit blanche!
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Ayant fait la connaissance d'Hervé
grâce à l'incontournable JM, il est finalement venu à l'Etoile
Sportive, où il termine maintenant son premier quinquennat. Son
meilleur souvenir reste :
l'accession en promotion d'excellence de l'équipe fanion, dont
les bons résultats… et la bonne ambiance lui doivent beaucoup.
Le point d'orgue de la saison fut, pour "Titi", le capital match
nul ramené de Divonne. Il a à l'esprit ce match au sommet, cette
ambiance fabuleuse mise par les supporters venus en car soutenir
les leurs, et la folie dans les vestiaires et lors du retour. Et
quand on insiste pour connaître un souvenir plus personnel,
Thierry évoque modestement un tacle décisif, en pleine surface
de réparation, réussi ce jour-là. Mais bien sûr, ces gestes, qui
valent souvent un but en moins pour les adversaires, sortent
plus rapidement de la mémoire collective qu'une reprise de volée
en pleine lucarne!
Pour "Titi", le problème ne se pose pas, puisque sous les
couleurs cernexoises, le seul but qu'il ait marqué l'a été
contre son camp, à Saint-Jeoire!
Il faut dire qu'en Première, quand il voulait monter, "Vévé" ne
voulait pas, et maintenant que "Girus" est d'accord, en Réserve,
il ne v(p)eut plus!
(GC) |
LA
VIE DE NOS ASSOCIATIONS
LES AFRICAINS DES BORNES |
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Nous avons
déjà évoqué dans nos colonnes l'activité de Jean Debornes et de
son équipe en faveur de villages du Sénégal.
Malgré le
grave accident de Jean, dont il se remet peu à peu, "les
Africains des Bornes" sont toujours aussi actifs dans la
réalisation et l'installation de pompes à pédales.
Ils
sensibilisent et forment également les habitants sur place, l'un
des buts étant qu'à terme, la population locale soit à même de
fabriquer, d'installer et d'utiliser ces fameuses pompes
manuelles. Cela permettrait en outre de créer dans ces villages
une micro-économie profitable à plusieurs niveaux.
De plus,
l'association a pour projet d'intervenir au Mali et en Tanzanie,
en collaboration avec un autre groupe Haut-Savoyard et avec
l'UNICEF, en faveur de deux projets "un puits, une école".
Vous pouvez aussi participer à la vie de l'association en
apportant vos diverses compétences ou votre soutien financier. |
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Un
ticket de métro à 45 euros…
Lors du voyage "Foot loisirs" au Stade de France, Coco
Deprez a eu peur de louper le coup d'envoi du match de
rugby France-Irlande et n'a pas voulu attendre ses
copains pour prendre le métro. Mal lui en a pris! Un
contrôleur l'a rattrapé, et son ticket de métro lui a
coûté 45 euros d'amende, le droit d'en acheter un à 1
euro, et une demi-heure de retard au stade!!! Ah! Si
seulement il courait plus vite…
Un hôtel qui change de place…
Lors du voyage à Paris Jacques Cusin, maître
organisateur, a eu l'excellente idée d'emmener sa troupe
dans un hôtel très sympathique qu'il connaissait bien…
Arrivé devant la porte, il sonna aux différents
interphones sans réponse. Sûr de lui, il ne comprenait
pas ce silence. Après quelques secondes d'interrogation,
il s’avéra tout simplement que l'hôtel était de l'autre
côté de la rue. Mais où avait-il la tête, ou plutôt,
qu'avait-il bu lors de sa dernière visite ?
Jean-Luc, Sébastien même combat…
Pour fêter comme il se doit la fin de l'année, tous les
bénévoles du club se sont retrouvés au stade pour une
soirée très bien organisée par nos co-présidents. Alors
que Gaby, Maurice et la Jane étaient en pleine
représentation théâtrale (moment mémorable), un bruit
sourd perturba leur prestation. Séba, ne voulant pas
être le seul de la famille CUSIN à casser des chaises,
avait saboté (du moins le croit-on!!) la chaise de son
frère Jean-Luc, qui se retrouva par terre. Bien
évidemment, Sébastien avait tout prévu en filmant la
scène, DVD que vous pouvez visionner sur demande.
Nouveaux nés dans l'équipe… Chardons Infos…
Toutes nos félicitations à Isabelle et Christian pour
leur petite merveille Félicie, à Bruno et à sa femme
pour leur charmant petit Nicolas et je me permets des
félicitations particulières à Raphaëlle, ma compagne
pour avoir mis au monde un magnifique petit Lohan… Nous
souhaitons beaucoup de bonheur à ces futurs sociétaires
ou footballeurs!!!
(Gilles Chaffard) |
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Dans ce numéro, où il est beaucoup
question de 3ème mi-temps, nous évoquons ceux qui ne peuvent
actuellement participer qu'à celle-ci : les blessés du Club. Et
encore, en période de convalescence, il convient d'être prudent
avec les béquilles!
Ces derniers mois, l'opération en vogue pour nos sociétaires
concerne le genou. Jérôme Fontaine a lancé la mode, qui a été
"reprise" par Nicolas Dauvergne, Bastien Vachey, Cyrille Rinaldo
et Christian Déprez. Et depuis, c'est la folie des (ligaments)
croisés!
Cela a donc commencé par un chassé-croisé dans les hôpitaux. A
Passy ou à Hauteville, en maison de rééducation, où ils se sont
croisés ("Fonfon" est sorti le mercredi juste pour laisser son
lit à Christian le jeudi…), il ne s'agit pas de rester les bras
croisés. Le travail est intensif, à peine ont-ils le temps de
faire quelques mots croisés. Cela n'a rien d'une sinécure (avant
la cure de ciné!). On aurait préféré pour eux les voir croiser
au large, plutôt que de croiser le fer avec des kinés, dont on
se demande parfois s'ils ne sont pas croisés avec des bourreaux
pour infliger de tels supplices.
Heureusement, nos sociétaires arrivent à la croisée des chemins
et entrevoient le bout du tunnel.
Nous souhaitons au "Club des 5" de se rétablir très vite pour de
nouveau profiter des joies du terrain.
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Poussins
2003-2004
Debout: D.
Bonnet (coach), Julien Bonnet, Arnaud Périllat, Wesley Coutenot,
Xavier Berthoud, Ph. Josserand (coach)
Accroupis: Léo-Paul Saxod, Benjamin Giraud, Alexis Wahl, Clément
Deffayet, Fabien Josserand |
«3ème
mi-temps selon Jean-Luc» |
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Si l'homonymie
peut entraîner des quiproquos, la teneur de l'article ci-dessous
ne laisse guère de doutes sur l'identité de "ce" Jean-Luc Cusin.
Son club reste Villy-le-Pelloux, même s'il a aussi encadré les
jeunes de l'Entente. "Le Gagneur" est doté d'un humour et d'une
conversation qui lui permettent de se faire apprécier en toutes
circonstances… y compris lors des troisièmes mi-temps.
Il nous régale d'une chronique de spécialiste !
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C'est pour
moi un véritable plaisir de rédiger quelques mots dans le seul
"canard footeux" local entre Usses et Salève. On peut le
comparer (toutes proportions gardées) à l'EQUIPE : on ne saura
jamais si c'est le meilleur, puisque c'est le seul, mais on sait
qu'il est bon, parce qu'il se lit avec beaucoup de plaisir.
Bravo à la rédaction!
N'ayant malheureusement pas, comme mon nom et mon prénom
sembleraient l'indiquer, réalisé une grande carrière
footballistique, qui plus est au sein de l'Etoile Sportive, j'ai
décidé de vous écrire un modeste "topo" sur un domaine que j'ai
maîtrisé beaucoup mieux que la frappe, le tacle ou la roulette:
la 3ème mi-temps.
L'origine de la 3ème mi-temps nous
vient de nos amis rugbymen (amis parce que plus costauds). |
Longtemps définis comme des footballeurs intelligents, les
baraqués du ballon ovale ont toujours eu l'avantage du gabarit
et du coffre pour rendre hommage à Rabelais, Bacchus ou
Pavarotti… Mais aujourd'hui, le rugby étant devenu un sport
professionnel, il perd un peu de sa superbe… le très haut niveau
sportif pro ne fait pas souvent la part belle aux études et aux
kilos inutiles…
Mais rendons à Brennus ce qui appartient à Brennus, les rugbymen
ont inventé les après-matchs où le bien boire et le bien manger
font que la victoire est encore plus belle, et que la défaite
n'est pas si terrible que ça.
Aujourd'hui la 3ème mi-temps s'est étendue à la plupart des
sports d'équipe, avec différentes façons de festoyer en fonction
du niveau sportif et de la robustesse des équipiers… A noter que
le terme "3ème mi-temps" n'a pas connu d'adaptation en fonction
des découpages du temps de jeu de certains sports. Par exemple,
les hockeyeurs et les basketteurs ne font pas le "4ème
tiers-temps".
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Mais revenons
à nos chardons. Même si l'Etoile Sportive brille à un niveau de
plus en plus haut, la structure amateur et locale de Cernex fait
qu'il reste un lieu où la 3ème mi-temps a encore sa place, et
pour longtemps…
Dans nos campagnes, la 3ème mi-temps "au foot" est un moyen très
agréable de finir le week-end entre copains : elle permet
d'oublier les déconvenues du match. En général, qui n'a pas
brillé pendant le match (faute au banc) a toute les chances
d'être un titulaire indiscutable et valeureux de la buvette
jusqu'aux chansons paillardes…
J'ai même
connu un club où l'on faisait la 3ème mi-temps avant la
première, ce qui donnait la possibilité à tout le monde de
s'illustrer sur le terrain, faute de remplaçants…
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Par respect pour mes anciens
coéquipiers, je ne citerai pas le nom de ce club, mais sachez
que son emblème est le même que celui d'une grande banque de
dépôt…
La 3ème mi-temps est aussi un excellent baromètre pour l'état
civil d'un joueur : quand il est toujours présent à la 3ème
mi-temps : c'est un célibataire; quand il vient moins souvent,
ou alors flanqué d'une ravissante créature qui apprécie
modérément les nombreuses distractions mises à sa disposition :
c'est qu'il fréquente; quand il ne vient plus : c'est qu'il
s'est marié; quand il revient : c'est que le couple a atteint
toute sa plénitude, ou alors on revient à la case départ…
Enfin, nous ne dirons pas assez les bienfaits des 3ème mi-temps
sur l'équilibre sportif d'un bon club de campagne. C'est là que
s'échafaudent les meilleures stratégies, les meilleures
compositions d'équipe, surtout si les entraîneurs prennent part
aux festivités (en général, ils en sont). Dans ces moments-là,
on pardonne tout. J'ai même connu un club où une présence à l'après-match
excusait 10 non-présences aux entraînements…
Pas besoin de mise au vert dans des contrées lointaines, une
bonne mise au rouge à la buvette, et l'équipe est soudée pour le
prochain match…
Pour conclure, en ces temps de prévention où le permis de
conduire doit absolument avoir un goal-avérage positif, la 3ème
mi-temps ne doit pas disparaître. Mais que celui qui a trop
célébré Bacchus rentre avec ceux qui ont plutôt célébré Rabelais
ou Pavarotti...
(Jean-Luc Cusin) |
Les Janeries
NDLR : selon
l’auteur «Janeries» est la contraction de «Jane» et «âneries».
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Bien difficile, les Janeries,
tellement est forte la présence de Jeannot lorsque je prends le
stylo pour une page bien légère, que j'ai beaucoup hésité à
rédiger. Mais en souvenir à celui qui ne manquait pas, loin s'en
faut, d'humour, voici les dernières blagues des anciens du Club,
de sortie à Paris pour le match de rugby France-Irlande.
Tout d'abord, départ très "chargé" de Nico et Didier après une
nuit presque blanche, que le TGV a gentiment bercés jusqu'à
Paris.
Du TGV au métro il n'y a qu'un pas, que Coco franchit sans
billet (comme certains autochtones) pour se faire prendre par la
patrouille. Coco en conclura que les sports de banlieue coûtent
bien cher.
En bon président, Sébastien, après la brillante victoire du XV
de France, a défié trois preux rugbymen. Notre mêlée fermée de
Coco et la Gouache, plus Sébastien, s'est fait écrabouiller.
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Sébastien ne
décolèrera pas du week-end contre ses coéquipiers bien mous qui
ont fait porter la honte à notre Club dans la capitale!
Enfin retour bien calme pour la plupart, à l'exception de la
Gouache encadré par Papin et Coco (décidément bien en vue)
qui,tout occupés à vider le bar du TGV, ont failli se retrouver
à Genève.
C'est là d'ailleurs que la Gouache, toujours aussi moqueur,
voyant une dame remonter le compartiment en poussant un sac à
roulettes qui s'accrochait bien évidemment partout, s'est
exclamé :
On n'a jamais vu un âne pousser une charrette! (Proverbe)
La Jane |
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L'engagement
de la section "Foot Loisirs" en faveur du club ne se dément pas
au fil des ans. Ayant appris le thème du "Chardons Infos" que
vous compulsez, ils décidèrent comme un seul homme de fournir du
grain à moudre au soussigné.
Pour illustrer au mieux le thème de la 3ème mi-temps, rien de
plus judicieux que de commencer par 2 de rugby. Le match
d'ouverture du Tournoi des Six Nations, au Stade de France,
contre les Irlandais, pas timorés dans le domaine, apparut comme
un test. Les leaders de la section ont donc (superbement)
organisé ce voyage pour une trentaine de sociétaires, pas tous
célibataires, en ce 14 février, jour de la St-Valentin. Nombreux
ont donc délaissé le traditionnel bouquet de fleurs pour le
"Chardons Infos". Une sacrée preuve de fidélité… au club!
Discrètement
infiltré dans la mêlée, je pus suivre les pérégrinations de ce
groupe de joyeux drilles. En gare de Lyon, la cavalcade du
troupeau n'eut pas l'air d'affoler des autochtones blasés. Seuls
deux nous prêtèrent attention : Max et Aurélien, parisiens
d'adoption, reconvertis en guides de luxe. |
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Après le
restaurant, le cap fut mis sur St-Denis. Sur place, ceux qui
découvraient le Stade de France purent apprécier ce magistral
monument… et cette ambiance magistrale. La foule bigarrée autour
de l'enceinte, où se mêlaient supporters Irlandais et Français,
exhalait une atmosphère bon enfant. L'impression fut confirmée
pendant les trois hymnes (dont celui de l'Europe) durant
lesquels aucun sifflet ne monta des tribunes. Indéniablement,
les "footeux" (dont nous sommes) peuvent en prendre de la
graine! |
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Pour ce
qui est des contacts, nous avons été impressionnés par les
"tampons" que peuvent s'infliger ces apôtres du fair-play. A ce
jeu-là, les tricolores n'ont pas démérité : ils ont ramené une
victoire que nous n'avions plus qu'à aller fêter.
Ces
rencontres de l'après-midi présentent un avantage indéniable :
la 3ème mi-temps commence plus tôt! |
Momo, La Jane, Jean-Luc et Jacques
fraternisent avec les Irlandais |
Elle a débuté
au cœur de Paris, où nous logions, dans une superbe maison de
maître, reconvertie en auberge de jeunesse. Le gîte idoine pour
un groupe comme le nôtre, la clémence des tarifs pouvant en
partie s'expliquer par le pourcentage de lits non défaits en fin
de séjour…
Il faut avouer que la capitale ne manque pas d'attraits, à
commencer par une artère composée de bars et de pubs,
malicieusement rebaptisée "la rue de la soif"! La troupe s'est
alors recomposée en petits noyaux, par affinités, se croisant et
se recroisant tout au long d'une soirée où la convivialité a
servi de fil rouge. "L'effet" rugby semble avoir joué en plein
lors de cette 3ème mi-temps! |
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Le
programme individuel du dimanche matin aura permis de déceler
les facultés de récupération de chacun, avant un retour plus
calme, dans nos paisibles montagnes. |
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Michel est un
précieux atout pour le Club : cuisinier, il ne rechigne pas à
mettre ses talents au service de l’E.S. Cernex, pour le plus
grand plaisir (des papilles) de tous! Par ailleurs dirigeant des
13 ans, il suit l’équipe de son fils Julien. Avec son épouse
Chrystele, ce tout jeune homme va souffler cette année ses 50
bougies.
Un plat que tu
aimes particulièrement ? Un bon plateau de fruits de mer.
Un plaisir de la vie ? Inviter des amis à manger.
Une qualité personnelle ? Je suis très famille.
Un défaut ? L’intransigeance.
Ta couleur préférée ? Bleu.
Une chose que tu sais bien faire ? La cuisine.
Fromage ou dessert ? Fromage.
Ton joueur préféré ? Platini.
Un chanteur, une musique ? Tina Turner.
Un luxe ? La moto.
Ton club préféré ? Sochaux. |
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Un pays qui t’attire ? Le Canada.
Ce qui te fait peur ? Le vide.
Un souvenir heureux ? La naissance de Julien.
Une qualité que tu apprécies ? La franchise, l’honnêteté.
Un défaut qui t’insupporte ? L’abus de pouvoir. Les gens qui
trichent.
Ta plus grande réussite ? Avoir su persévérer dans mon métier.
Un plat que tu détestes ? Les tomates farcies. Et pire : les
MacDo.
Ton idéal féminin ? Pas prédéterminé. Le physique ne fait pas
tout!
Ce qui t’énerve ? Le non respect de certaines personnes.
Que t’apporte le foot ? C’est une détente, et aussi une certaine
tension.
Quelles contraintes représente-t-il ? Aucune. Je suivais
l’équipe de Julien, de toute façon. En m’engageant, je suis plus
proche de l’entraîneur, je perçois mieux ce qu’il attend des
joueurs. Leurs progrès sont évidents. Le contact avec les jeunes
se passe bien.
Le plus grand atout du Club ? L’encadrement, l’accueil,
l’ambiance.
Comment vois-tu l’avenir ? Pour moi, ça va, et pour le Club
aussi. J’espère continuer à suivre les jeunes, et que l’esprit
du club ne change pas. Que la Première continue de jouer aussi
bien. Je les trouve plus sereins qu’avant, bien dans leur tête.
Ils méritent de monter encore! Pour ce qui est de l’avenir du
monde en général, je suis moins optimiste…
(I.D.) |
Les
Grandes Médiévales 2004 auront lieu les
29-30 mai et 5-6 juin 2004
Au coeur de la forêt des Moulins d’Andilly |
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ETOILE SPORTIVE CERNEX
Stade des Chardons - 74350 COPPONEX
Tél. : 04.50.44.24.05
e-mail : escernex@hotmail.com
www.cernexfoot.org |
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Renseignements auprès de: Nicolas GILBERT (Secrétaire général)
06.61.73.04.23 Sébastien CUSIN 04.50.44.26.84 Claude PHILIPPE
04.50.44.13.67 |
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Rédaction
et mise en page Chardons Infos: Gabriel CUSIN, Isabelle DEPREZ,
J-Noël MAGNIN |
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