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Ouvrier agricole dans la vie de tous les
jours, Damien est chaque dimanche depuis 3
ans dans les rangs de l’équipe fanion, après
avoir été formé à la Mandallaz. Il a 25 ans,
habite à Marlioz avec Stéphanie.
As-tu d’autres activités que le foot ?
J’ai un travail assez prenant, déjà. Sinon,
j’aime bien la pétanque, le ski.
Un rêve ? J’aurais aimé jouer à très
haut niveau.
Une qualité personnelle ? Je suis un
battant.
Un défaut ? Coléreux.
Un souvenir heureux ? La naissance de
ma filleule.
Ce qui te fait peur ? La mort. Finir
dans un chariot, assisté, sans pouvoir
bouger.
Ce qui te fait rire ? Jérôme Cusin :
même quand il n’a pas joué, c’est quand même
lui qui nous a fait gagner le match! |
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Ce qui t’énerve ? Ceux qui ne se
bougent pas et se contentent de dire : j’ai
essayé, sans l’avoir réellement fait. Ceux
qui radotent, aussi.
Un luxe ? Avoir une famille et être
en bonne santé. Ça suffit.
Ce que tu pardonnes facilement ? La
maladresse.
Ce que tu voudrais changer en toi ?
Mes mollets.
Un plaisir ? Me retrouver sur un
terrain chaque dimanche avec mes collègues.
Ce qui t’émeut ? Avoir des supporters
chaque dimanche derrière nous, même en
déplacement. Ca motive, ça fait du bien.
Qu’est-ce que le foot t’apporte ? Ça
me vide la tête. Je suis d’un naturel
nerveux, mais peu à peu j’ai acquis une
certaine maturité, j’apprends à mieux me
maîtriser.
Qu’est-ce qui te pèse dans le foot ?
Quand un arbitre n’est pas réglo.
Un souvenir de vacances ? La première
fois que j’ai vu la mer, à Cassis.
Ton idéal féminin ? Flavie Flament.
Quelqu’un qui t’inspire du respect ?
Je respecte ceux qui me respectent.
Un film qui t’a marqué ? « Dans la
tête du tueur » (l’histoire de Francis
Heaulme).
Ce que tu as de plus cher ? Ma
famille.
Pourquoi avoir choisi le foot ? Au
départ, tout petit, je me suis lancé avec un
copain de mon âge… et il s’est avéré que
j’aimais bien ce sport.
Qu’est-ce qui t’a amené à Cernex ? Je
connaissais beaucoup de joueurs, surtout en
II. Et puis bien sûr, j’ai été attiré par le
niveau de l’équipe fanion (à l’époque, elle
jouait en Excellence).
Quel est, selon toi, l’atout majeur de
Cernex ? Pour l’équipe fanion, Hervé, et
le fait que nous soyons un groupe très
soudé. Pour le club en général c’est
l’équipe de dirigeants et d’encadrement,
évidemment.
Comment vois-tu l’avenir ? Au niveau
du foot, je crains pour la stabilité de
l’équipe: nous sommes à un moment charnière.
Pour ma vie personnelle, j’ai des projets
qui risquent de charger mon emploi du temps
pour les années à venir, mais ce sont des
choses réalisables, et plutôt positives.
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