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PORTRAIT
Anthony Airale
As-tu d'autres activités que le foot ? La cuisine. Le ciné, la pêche, et je suis abonné à Saint-Etienne avec Daniel Josserand. Mais le foot prend du temps!
Un pêché mignon ? Le casse-croûte. Quelque chose de simple, pain, tomme, saucisson, ça suffit à mon bonheur!
Un souvenir heureux ? Ma rencontre avec Samantha.
Une chose que tu sais bien faire ? Recevoir.
Comment définirais-tu ton style ? Assez cool. Un peu M. Tout le Monde, mais sportif, quand même, et jeune.
Ce que tu as de plus cher ? Mes parents.
Ce que t'as apporté ton éducation ? Des valeurs. Le respect, surtout (même si ça n'est pas toujours flagrant : j'ai parfois des réactions un peu impulsives quand je suis dans mes cages : je suis assez mauvais perdant!).
Ton état d'esprit présent? Serein.
Si tu devais changer quelque chose en toi ? Avec moi, c'est tout ou rien. Soit je m'implique à fond, soit je passe carrément à côté. J'aimerais savoir trouver le juste milieu!
Un rêve ? Pouvoir donner à mes propres enfants autant que j'ai moi-même reçu de mes parents.
Une maxime ? Rester moi-même, en toute occasion.
Un luxe ? Voyager. J'ai déjà été au Brésil, j'espère pouvoir faire des grands voyages comme ça. Mais le premier luxe, c'est quand même, à un autre niveau, de pouvoir manger à sa faim.
Une qualité que tu te reconnais ? Généreux, serviable, disponible.
Un défaut ? Je suis tête-en-l'air, et pas toujours très sûr de moi, hésitant.
La qualité que tu recherches chez un homme? La tolérance et la franchise. Et chez une femme ? La confiance et la sollicitude.
Ce qui te fait peur ? La dépendance, le handicap.
Ce qui te fait rire ? Le 6/9 d'NRJ.
Ton idéal féminin ? Monica Bellucci.
Ta plus grande réussite ? Elle va arriver!
Le bonheur parfait ? Voir sa famille heureuse et en bonne santé.
Quelqu'un que tu admires? Zidane.
Pourquoi avoir choisi le poste de gardien ? J'ai commencé vers 14 ans, encouragé par mon entraîneur, Daniel Josserand. C'est le poste que je voulais. Il ne demande pas les mêmes qualités que les postes de champ : la concentration, c'est 80% du boulot. Des réflexes. Et au niveau physique : de la tonicité dans les cuisses, et de bons appuis, mais moins de souffle. Le gardien est tout de suite mis en cause en cas de défaite, mais il lui arrive aussi de sauver la mise à toute l'équipe.
Qu'est-ce qui t'a amené à Cernex ? La proximité. Et ce qui m'y fait rester, ce sont les copains.
Qu'est-ce que le foot t'apporte ? J'y retrouve mes amis. Et ça me défoule, après le travail.
Qu'est-ce qui te pèse ? Jouer sur un stabilisé.
L'atout majeur de Cernex ? La convivialité. Les valeurs qui sont transmises au fil des générations : les effectifs changent, mais la mentalité s'entretient. C'est une aventure humaine qui dépasse largement le foot!
Comment vois-tu l'avenir ? Au niveau du monde, ça fait bien longtemps que tout le monde s'en fout, je crois… Au niveau du club : préserver l'état d'esprit, la bonne image du club. Il y a eu du boulot derrière, ce sont des hommes qui ont fait le club, et c'est tout à leur honneur. Pour ce qui me concerne, c'est moi qui ai les cartes en main, personne d'autre ne fera ma vie. Je vais faire de mon mieux!
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