|
Etoile Sportive Cernex |
|
|
|
|
Best -of « E.S. Coulisses »
L e premier « ES Coulisses » diffusé dans les pages du Chardons Infos n’a pas 50 ans, mais date tout de même d’Octobre 1994. Pour fêter l’anniversaire du club, voici un best-of de cette rubrique devenue mythique.
Automne 1997, on passait même des petites annonces… • JOUEUR D’EXPERIENCE cherche équipe jouant toute l’année, 4 x /semaine, Matchs de min. 2 x 95 mn. Pourrait s’occuper de l’échauffement du groupe (frappes de 25 m.) • ECHANGE : boîte d’Elasto, état neuf, prescrite en 1988, contre 1 bouteille de vin rouge, si possible, même millésimé. Si vous êtes intéressé par l’une de ces annonces, prenez contact avec : Maurice Thomasson, Copponex.
Printemps 2001 Cet hiver, une délégation du club s’est rendue à Chamonix pour un week-end de ski. De ces bons moments, on retiendra notamment que les moins rompus des nuits de java ont appris à apprivoiser la girafe (qui, dans ces régions montagnardes, n’est autre qu’une sorte de bière en tube que l’on sirote à plusieurs. Un sport d’équipe, donc !). Certains, ravis, se sont bien agrippés au cou de la girafe !
Automne 2002 : remarque indémodable. Il se murmure qu’actuellement au club, la raclette que l’on mange aurait plus d’adeptes que celle que l’on passe dans les vestiaires ! Nous rappelons chacun de nos sociétaires à leurs devoirs (aussi) domestiques pour le confort de tous.
Automne 2003 Nos entraîneurs Benjamins, Julien Domenge et Julien Sallaz, accompagnés de Michel Milone, étaient en pleine forme pour la 1ère journée de championnat. Nono (Noël Magnin) avait mis des cadenas de sécurité sur les petits buts rétractables. Poussin (alias Julien Domenge) n’arrivant pas à ouvrir un cadenas, appela notre Co-président Séba à son secours. En fait, ils essayaient tout simplement d’ouvrir un cadenas abandonné depuis plusieurs années à la main courante. N’ayant plus la clé, Nono ne l’avait pas encore supprimé !!! En quoi gênait-il nos trois lascars ? Mystère ! Mais l’histoire ne dit pas ce qu’ils avaient fait la veille...
Printemps 2004 Un ticket de métro à 45 euros… Lors du voyage « Foot loisirs » au Stade de France, Coco Déprez a eu peur de louper le coup d’envoi du match de rugby France-Irlande et n’a pas voulu attendre ses copains pour prendre le métro. Mal lui en a pris ! Un contrôleur l’a rattrapé, et son ticket de métro lui a coûté 45 euros d’amende, le droit d’en acheter un à 1 euro, et une demi-heure de retard au stade !!! Ah ! Si seulement il courait plus vite...
Automne 2004 Didier Philippe a organisé, comme à son habitude, une réunion de lancement de saison pour la commission des fêtes en envoyant lui-même les convocations. La participation à la réunion fut une grande réussite. Un absent à noter : Didier Philippe !!! Il avait tout simplement oublié ! Ses collègues, pas rancuniers, l’ont quand même appelé pour qu’il vienne prendre le verre de l’amitié en fin de séance !
Automne 2005 Greg BOUCHET, s’occupant de la buvette de l’Amicale Joueurs, a connu un grand moment de solitude en allant faire l’approvisionnement en boissons… En effet, pensant que l’emballage plastique entourant la marchandise suffirait, il n’a pas attaché la palette de bouteilles de bière sur le plateau du camion. Résultat de l’affaire : intervention des forces de l’ordre et des pompiers, et le grand rond-point de la zone commerciale d’Epagny, coupé à la circulation par des centaines de canettes cassées… L’histoire ne dit pas s’il avait des chaussures aux pieds en sortant du camion…
Printemps 2006 Lors de notre séjour en Ecosse, Jacques CUSIN avait tout prévu, jusqu’à l’alcootest ! Lors d’un repas pris en commun, il demanda à une connaissance bilingue comment on disait en anglais « Qui veut un alcootest ? » Cette personne, avec son humour British, lui répondit : « Who wants a blow job ? » Jacques se mit alors à crier de toutes ses forces dans l’immense restaurant : « Who wants a blow job ? Who wants a blow job ? » Ce que ne savait pas Jacques, c’est que cette phrase signifie en fait : Qui veut une fellation !!! Suite à cela, on ne vit pas Jacques tout rouge pendant quelques minutes... il s’était caché sous la table ! Mais que faisait-il sous la table…?
Automne 2010 En début de saison, en vue d’un match amical prévu à Meyrin, une partie de l’équipe fanion s’était donné rendez-vous sur le parking du Macumba afin de faire voiture commune. Vincent Bregeon, dirigeant très consciencieux, arriva quelques minutes en avance. Les autres accusant un léger retard, Vincent, accablé par la soif en cette chaleur estivale, n’y tint plus et décida d’aller, en un éclair, se désaltérer à la Forge ! Cependant, en homme appliqué, il avait déjà préparé l’équipement nécessaire à l’équipe, et l’avait disposé sur le toit de sa voiture, en attendant les joueurs. Chaleur, soif, ou agacement dû à l’attente, Vincent oublia la pharmacie sur le toit avant de démarrer... Les retardataires s’étonnèrent de son absence en arrivant au rendez-vous et attendirent à leur tour un bon quart d’heure, durant lequel l’étourdi, s’étant aperçu de sa bévue, ratissa les environs en vain, afin de retrouver la mallette égarée ! Comble de l’histoire, même si la pharmacie lui fut rapportée par un honnête badaud, Vincent ne cessa de clamer que tout était de la faute... des retardataires, naturellement !
Mickaël Deprez
|
