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Portrait Mickaël Deprez
Une chose que tu sais bien faire ? Ecouter. Un pêché mignon? Les lasagnes de ma mère. Ce qui te fait peur ? Le handicap, la dépendance. Ce qui te fait enrager ? Ceux qui ne pensent qu’à eux-mêmes. As-tu d’autres activités que le foot ? Ecouter de la musique; internet, tant pour les jeux que pour les actualités internationales. J’aime toucher un peu à tous les sports, quoique je n’en pratique aucun autre régulièrement. Ton principal trait de caractère ? Médiateur. Un souvenir heureux ? Mon premier match titulaire en I, avec Hervé, à Aix-les-Bains, alors que j’étais encore en moins de 18. C’était les leaders, on avait pris 2/0, mais c’était la première fois que j’avais cette responsabilité d’être titulaire. Je me souviens de mon émotion, le vendredi soir, quand Hervé m’a annoncé qu’il m’avait retenu en Première… Une qualité personnelle? La persévérance. Un défaut? Mon manque de créativité. Et puis : je suis trop gentil, parfois. Un luxe ? Vivre sans contraintes. Avoir toutes les cartes en main pour prendre ses décisions librement. Un événement important ? Le décès de Jean-Christophe Lopez. Le fait de devoir faire face et soutenir nos amis plus jeunes, alors que j’étais moi-même très touché intérieurement. Ta plus grande réussite ? Pour l’instant, mes études. J’en espère d’autres ensuite! Ton idéal féminin ? Scarlett Johansson. Que t’a apporté ton éducation ? Le respect. Savoir réfléchir avant d’agir. Si tu devais changer quelque chose en toi ? Je suis plutôt bien dans ma peau comme je suis… Peut-être mes yeux : ne plus avoir besoin de lentilles. Ce que tu as de plus cher ? Ma famille proche : mes parents, ma sœur, mes grandsparents maternels. La qualité que tu recherches chez autrui ? La serviabilité, être prêt à aider… Mais je ne dis pas ça dans l’optique d’en profiter, bien sûr! Un rêve? Faire le tour du monde en prenant mon temps, pour découvrir un peu les différentes cultures, les pays. Qu’est-ce que le foot t’apporte ? C’est l’endroit où l’on peut se lâcher, se défouler, et bien sûr retrouver les copains. Qu’est-ce qui te pèse ? La régularité. Quelquefois, on n’a pas envie d’y aller… Tes héros ? Ceux qui réussissent en partant de rien. Ton écrivain préféré? Bernard Weber. Qu’est-ce qui te fait avancer ? L’envie de réussir. Il faut que j’y croie. Quel est selon toi l’atout majeur de Cernex ? La jeunesse des joueurs. Et un encadrement énorme, avec des gens qualifiés, qui sont à leur place. Le comité, c’est comment, de l’intérieur ? J’y suis depuis 2-3 ans. Parfois, on se prend la tête sur des détails. On devrait pouvoir simplifier, en travaillant sur l’historique Ton meilleur souvenir de foot ? Il y en a 2 : Le match de Coupe de France, l’an dernier, contre Chasselay, ici. Même si nous avions perdu 3/0, nous avions pris beaucoup de plaisir à jouer. Et le dernier match de l’an passé contre La Roche, ou plutôt, les 15 jours de préparation qui l’ont précédé : tout devait se jouer sur ce match, l’atmosphère était très particulière, sérieuse, nous étions tous tendus vers le même but, en parfaite cohésion. Un message pour ton équipe ? Ne pas baisser les bras, ne rien lâcher. Mathématiquement. Rien n’est encore fait. Et l’avenir ? Je suis d’un naturel optimiste. La 1ère va se maintenir. Quant à moi, je vais terminer mes études avec succès.
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