En début
de
saison,
en
vue d’un
match
amical
prévu à
Meyrin,
une
partie
de
l’équipe
fanion
s’était
donné
rendez-vous
sur le
parking
du
Macumba
afin de
faire
voiture
commune.
Vincent
Bregeon,
dirigeant
très
consciencieux,
arriva
quelques
minutes
en
avance.
Les
autres
accusant
un léger
retard,
Vincent,
accablé
par la
soif en
cette
chaleur
estivale,
n’y tint
plus et
décida
d’aller,
en un
éclair,
se
désaltérer
à la
Forge!
Cependant,
en homme
appliqué,
il avait
déjà
préparé
l’équipement
nécessaire
à
l’équipe,
et
l’avait
disposé
sur le
toit de
sa
voiture,
en
attendant
les
joueurs.
Chaleur,
soif, ou
agacement
dû à
l’attente,
Vincent
oublia
la
pharmacie
sur le
toit
avant de
démarrer…
Les
retardataires
s’étonnèrent
de son
absence
en
arrivant
au
rendez-vous
et
attendirent
à leur
tour un
bon
quart
d’heure,
durant
lequel
l’étourdi,
s’étant
aperçu
de sa
bévue,
ratissa
les
environs
en vain,
afin de
retrouver
la
mallette
égarée!
Comble
de
l’histoire,
même si
la
pharmacie
lui
fut
rapportée
par un
honnête
badaud,
Vincent
ne cessa
de
clamer
que tout
était de
la
faute…
des
retardataires,
naturellement!
Fatigués,
lessivés,
voilà ce
qu’on
craignait
pour eux
quand
ils ont
quitté
leurs
fonctions
au sein
du club!
Séba,
pour
s’être
dépensé
sans
compter
pendant
une
trentaine
d’années
pour son
club
préféré,
et
Thérésa,
elle, en
comptant
pour ne
pas trop
dépenser,
pendant
près de
quinze
ans!
Le
Club
reconnaissant
leur a
offert
un petit
week-end
ressourcement
près
d’Avignon,
ainsi
qu’à
leurs
conjoints
qui ont
bien
participé
à
l’effort!
Ils sont
donc
partis
en ce
début
d’octobre
passer
un
week-end
thalasso
et
gastronomie
à
l’Auberge
de
Cassagne,
dont ils
sont
revenus
rassasiés,
reposés
et
ravis!
Il faut
dire que
le
soleil
était de
la
partie.
La
prochaine
fois,
c’est
Nono qui
emmène
Denise!
A
ceux qui
douteraient
de
la
pertinence
de
l’existence
d’une
section
féminine
au club,
nous
clamons
haut et
fort que
ces
filles
forment
une
véritable
équipe
de foot.
La
preuve :
alors
qu’elles
n’ont
pas
débuté
de
compétition,
elles
comptent
déjà
parmi
elles
une
blessée!
L’infortunée
Mélissa
a
contracté
malencontreusement
une
entorse
de la
cheville
en
mettant
le
pied
dans un
trou de
taupe,
sis
pourtant
loin
derrière
les
buts, en
allant
chercher
un
ballon
mal
cadré!
Digne de
bien des
footballeurs
donc…
Lors de
précédents
numéros
du
Chardons
Infos,
nous
avions
parlé
des
supporters
fidèles
de l’ES
Cernex,
les
Ultras
du club,
et
également
de
Michel
Vigne.
Nous
avons
enquêté
pour
savoir
si cette
ferveur
pour
l’équipe
fanion
était
encore
intacte
aujourd’hui.
Nous
avons
rapidement
constaté
que les
habitudes
n’ont
pas
changé,
et on
retrouve
toujours
leurs
silhouettes
aux
abords
du Stade
des
Chardons
et des
stades
de
Haute-Savoie.
On peut
même
voir
qu’un
rapprochement
a été
engagé
entre
les
Ultras
et
Michel
sur
cette
photo
récente
prise
par
notre
enquêteur
au stade
municipal
de Viry,
en début
de
saison.
Mais
notre
enquête
nous a
menés
plus
loin
dans le
temps.
Nous
avons
retrouvé
une
photo
que nous
devions
impérativement
faire
partager
à tous
nos
lecteurs.
On peut
ainsi se
rendre
compte
que
l’entente
entre
Michel
Vigne,
dont on
reconnaît
aisément
la
silhouette,
et
Jean-Pierre
Déprez,
leader
des
Ultras,
ne date
pas
d’hier.
On
félicite
au
passage
ce
dernier
pour
cette
coiffure
originale…
On se
réjouit
donc que
la
cohabitation
entre
groupes
de
supporters
de l’ES
Cernex
se passe
aussi
bien, et
ce,
depuis
des
années!
Comme il
a déjà
été dit
par
ailleurs
dans ce
journal,
la
labellisation
de notre
école de
foot a
été
dignement
célébrée
ce
samedi 2
Octobre
au Stade
des
Chardons,
en
présence
de moult
personnalités
du monde
du
football
Haut-Savoyard...
Sans
doute
inspiré
par ce
parterre
de
supporters
de
choix,
notre
Lucas
Adt, qui
participait
au match
des U17
qui se
tenait
en
parallèle,
n'a pas
renié
ses
racines
(voir
"Je
m’souviens"
de ce
numéro)
puisqu'après
avoir
subi
l'attitude
un rien anti-sportive
de
l'adversaire
pendant
quelques
temps,
il a
finalement
décidé
de se
retourner
pour lui
présenter
un
argument
de
choc...
et
passer
ainsi de
victime
à
agresseur...
Un geste
peu
apprécié
par
l'arbitre
qui lui
a
décerné
le
carton
rouge
qui
seyait.
Doublement
pas très
fair-play
puisque
du coup
(c’est
le terme
idoine!),
la fin
du "Je
m’souviens"
du papa
n’est
plus
adaptée.
"Bon
sang
(qui n’a
fait
qu’un
tour!)
ne
saurait
mentir!"
aurait
été plus
approprié…
La
Rédaction