ES Coulisses
Depuis
maintenant quelques saisons,
Damien Dérobert a adopté un
nouveau système, inventif et
surprenant, qui lui vaut
quelques boutades de la part
de ses coéquipiers.
L’attaquant de l’équipe
fanion devient-il frileux en
vieillissant, ou
s’inscrit-il dans une
démarche écologique visant à
réduire les frais de
chauffage du club ? Toujours
est-il qu’avant de se
changer, Damien utilise
désormais son tapis de
voiture pour éviter d’avoir
à marcher pieds nus sur le
sol des vestiaires, parfois
un peu frisquet au sortir de
l’hiver. Quoi qu’il en soit,
Damien n’a pas encore trouvé
de remède miracle aux pannes
d’eau chaude qui ont
légèrement perturbé la
douche des joueurs lors des
premières séances
d’entraînement de cette
année. Peu de courageux ont
affronté l’eau fraîche (pour
ne pas dire glaciale)!
Pragmatique, comme la
plupart des autres joueurs,
Damien a finalement trouvé
la solution : Il a pris sa
douche à la maison…
• Damien Dérobert toujours !
Malchanceux, il a été
victime d’un accident de
travail assez
impressionnant. En effet,
suite à la rupture d’une
sangle, notre attaquant a
reçu un lot de barres de fer
sur le crâne, ce qui lui a
valu quelques points de
suture sur le front ainsi
qu’une légère fracture du
nez. Damien a donc dû ronger
son frein quelques jours,
éloignés des terrains. Et
malgré un retour assez
rapide au jeu, l’infortuné,
qui apprécie disputer les
ballons aériens, a
malheureusement eu beaucoup
de difficultés, pendant un
certain temps, à concilier
sutures et coups de tête!
• Toujours à l’entraînement,
notre équipe féminine se
cherche désormais une
gardienne de but pour
remplacer Samantha
Pourchelles dans la cage. En
effet, avec son conjoint,
Anthony Airale, le couple
attend un heureux évènement
d’ici la fin de l’été.
Félicitations aux futurs
parents !
• On a pu lire un bel
article dans le «Dauphiné
Libéré» du dimanche matin
sur Nicolas Dauvergne, un
enfant du crû qui devait
jouer en première à
Cruseilles l’après-midi…
Mais, suite à un changement
de dernière minute,
«Crapaud» avait joué la
veille en 2. Une prochaine
fois, peut-être!
La rédaction
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