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				Je m’souviens  
				Nicolas Dauvergne
				
				
				 Crapaud, 
				comme on le surnomme, est un enfant de l’E.S.Cernex, même s’il 
				porte la liquette du F.C. Cruseilles ces dernières années. 
				
				Il a fait toutes ses gammes dans nos équipes de jeunes avec la 
				fameuse génération 1984, avant d’être propulsé en Séniors sous 
				la houlette d’Hervé Musquère. Souvenirs pêle-mêle, heureux ou 
				malheureux, de ses années en blanc et rouge. 
				  
				 
				
				
				« J’ai dû commencer le foot à l’E.S. il y a une bonne vingtaine 
				d’années... avec comme voisins la famille Thomasson (Gérard, 
				notamment), il était difficile de ne pas entendre parler du 
				club. En toute logique, « Girus » (Gérard Thomasson.ndlr) fut 
				notre premier entraîneur, avec Jean-Claude Vierray et l’histoire 
				dura des Poussins (U9-U11) jusqu’aux -13 ans...avec des supers 
				souvenirs ! Si je me souviens bien, le premier tournoi qu’on a 
				gagné était celui du Châble ; quand t’es gamin, tu crois que 
				t’es champion du monde ! Mes coéquipiers étaient, entre autres, 
				Sylvain Thomasson, Jean-Gui (Guillaume Cusin), Mika Joss 
				(Mickaël Josserand), les jumeaux Vierray, La Morille (Romain 
				Gilbert)… 
				
				
					  
					
				
				
				Mais pour moi, c’est l’Entente qui représente les plus belles 
				années ! 
				
				Je me souviens bien d’un tournoi à Onex où je marque un joli 
				coup franc sous la latte... C’était plutôt rare; d’ailleurs, le 
				soir même BTV (Alexandre Pérrillat) fêtait ses 18 ans, on va 
				dire qu’on avait bien arrosé les deux faits du jour ! 
				 
				 
				
				Bien sûr, dans cette équipe il y avait des joueurs plus 
				techniques, certains étaient plus forts mentalement, d’autres 
				avaient plutôt les pieds carrés, mais je dois dire que l’état 
				d’esprit, l’ambiance de notre groupe était assez magique... 
				 
				 
				
				Puis, j’ai accédé en Séniors. Le bon en avant était assez 
				impressionnant avec Hervé Musquère et son côté assez pro et 
				charismatique ; t’en mène pas large, quand tu sors des Juniors, 
				où tu jouais avec ton équipe de copains depuis tout gamin. Je 
				garde de bons souvenirs avec les Seniors, avec leur lot de 
				montées -- bien fêtées -- mais aussi de descentes. 
				 
				 
				
				Si je dois choisir une personne qui m’a marqué au club, c’est 
				sans aucun doute Robby (Robert Pillard). Pas vraiment pour sa 
				culture footballistique (y va rigoler), mais parce qu’il m’a 
				permis de développer le côté mental et compétiteur qui est en 
				moi. Il m’a aussi épaulé quand j’ai perdu un de mes frangins. 
				J’en profite d’ailleurs .../... 
				
				
					  
					  
					
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